alma l'âme légère !

Alma arriva dans ce sous-bois ensorcellée, onsouciante et avec la joie comme seul bagage sur l'épaule, sans se douter qu'une vie en tout point différente de celle qu'elle vivait avant allait commencer. Pour l'instant, tout semblait paisible. La jument se ocucha dans l'herbe et écouta le doux chant des oiseaux, la tendre mélodie des feuilles qui sussuraient au vent son amour fou. Les branches valsaient au rythme des amoureux et les nuage leur servait de décord des plus féérique. La vue panoramique qui se déplyait devant Alma était si belle, aussi pure et sintillante que du cristal, que cette dernière s'assoupit.
Lorsqu'elle s'éveilla, reposait près d'elle la lueur du levant, la lumière pénétrant les particule de la rosée, innondant chaque fibre du corps d'Alma d'une paix veloutée. Une petite fée composée de paricule fosforescentes papillota autour de la jument. elle se posa sur son nez, juste devant ses yeux émerveillés. Captivée par cette aparition étrangère au commun, alma fit frémir ses paupières. Lorsqu'elles reprirent une stabilitée, l'aparition envoutante avait disparue sans laisser de traces de sa frêle personne.
Frénétiquement, Alma déplia son corps menu et jeta de vigoureux coup d'eauil tout autour d'elle.
-PETITE FÉE ? OU ES-TU ?
Hurla-t-elle d'une voix engoissée.
BOFF ! C'est mieux que de voir un loup-garou ! Allez, il ne peu t'arriver de chose graves dans un endroit si enchanteur !
Sur ces pensée réconfortantes, Alma se mit `;a brouter pleine de quiétude.

Catherine se promenait dans le sous-bois. Elle regardait partout, émerveillée par la beauté de cet endroit. Elle était partie de chez elle depuis quelques jours déjà, mais ça n'avait pa sl'air de la déranger le moi du monde. Elle s'avança et arriva dan sun endroit dégager. Et que vit-elle ? Une petite jument.
-Cheval ? Dit-elle d'une voix incertaine. Elle s'approcha tranquillement, pas trop sûre d'elle. Elle n'avait pas peur des chevaux, mais elle était dans un endroit inconnu. Elle s'assit ensuite par terre, attendant une réaction de la jument.

Alma sursauta quand elle vit la petite à la même chevelure qu'elle. Elle se leva et s'approcha doucement. Elle rit à l'écoute de la petite vois flutée de la jeune fillette. À peine plus grande que sa cuisse, la petite avait une allure princière et senait bon la fraise. Effleurant le sol moussu de ses genous, afin de se mettre à la même hauteur de la jolie humaine, Alma se mit à murmurer de douces paroles presuqes chantantes.
-Bonjour, petite, comment t'appelle tu ?
Alma aurait voulu poser une tonne de question,donc le flot se déversait dans sa tête, mais elle préserva la petite de ces milliers d'interrogations afin de ne pas l'effrayer. Elle se contenta de sourir, rayonnante de recontrer quelqun qui lui faisait poenser à sa précieuse Hélendili. Les yeux bleus de la petite brillaient comme des diamants sous la lumière ambiante, envoutant Alma, se rapelant les joyauc qui ornait le visage parfait de son amie d'enfance.

-Cheval !
Répéta la filette. Elle resta quelques instants, bouche ouvertes, à fixer Alma. Puis, soudainement, sans avertissement, elle étira le bras et saisit la crinière de la jeune jument. Elle éclata de rire et tira sur la crinière jusqu'a en arracher quelques crins. La petite avait toujours arraché les cheveux de ses barbie, elle adorait ça. Elle ne faisait pas la différence entre sa poupoée et la jeune jument qui se tenait devant elle.

Alma rit devant l'insouciance de l'enfant. Elle retira doucement sa tête de l'emprise de ses menottes. Elle fixa la fiillette droit dans les yeux.
Elle est si mignonne ! Mais que fait-elle ici seule !? Je me rappelle que les enfants humains à l'habitude, sont surveillés par leurs parents ! Mmm... Essayons de savoir !
-Petite, que fais-tu ici, seule ? C'est important que tu me répondes, si tu peux je pourrais t'aider !
Alma espérait de tout son coeur que la petite soit capable de parler, elle voudrait bien l'aider !

L'aider ? Mais à quoi pensait cette jument ? Catherine n'avait pas besoin d'aide, pas le moins du monde ! Et pourquoi cette jument riait-elle ainsi ?
-Cheval ! Répèta-t-elle insistante. Puis elle pris Alma par la crinière et avança, essayant de la traîner de force avec elle.

La petite était bien mignonne, mais quand même ! Vigoureusement, Alma se dégagea et fit quelques pas derrière. Elle se doutait bien que la petite savait dire autre chose que "cheval"! Come la jument était imprégnée de douceur et qu'elle ne savait que baigner dans un océant de tendresse, elle resta calme, mais ferme.
-Je viendrai avec toi, petite mais à deux conditions. tu me dis qui tu es, et ou tu veux aller. Tu comprends que je ne veux pas me retrouver dans la hutte d'un castor, parfumée de crotte de chien et en train de manger de l'avoine à saveurs de saumon fumé à opitier moisi, d'accord ?
Alma frotta sa tête sur le corps menu de la fillette pour lui témoingner son amitier.
Si elle ne sait vraiment pas parler, que ferais-je ? Bof, si elle sait dire cheval, elle doit savoir son nom et pouvoir dire maison ! Haha !
-Mais tant que tu ne me réponds pas, d'une mnière ou d'une autre, je reste plantée là et je sui sun tant soit peu plus forte que toi !
Alma sourit et dévisagea encore une fois sa vis-à-vis. La petite avait des cheveux qui brillaient légèrement sous lesoleil et ses yeux pailletées de différentes teintes de bleux étaient quasi oidentiques à ceux d'Hélendili. À l,écoute du doux trémolo de la voix d'une tourterelle triste accompagné du chant du vent caressant les feuilles, le coeur d'Alma se gorgea de batitude bienfaitrice. Les feuilles effectuaient leur danse dentellée et le gazon tendre ondulait sous la brise, traçant sur le sol un ballet féérique.

Catherine détestait se faire dire non. Elle était décidée à ne pas se laisser mener par cette jument.
-Catherine dit : Cheval ici ! Dit la jeune fille d'un ton furieux.
-Catherine dit, cheval fait !
La petite n'avait pas comprit tout ce qu'Alma avait dit. Elle prit le toupet d'Alma dans ses petites mains et la traîna jusqu'a un gros rocher. Elle grimpa sur le rocher et s'installa sur le dos de la jument. Elle se foutait bien de savoir si celle-ci était d'accord ou non. Elle se mit à cogner avec ses deux petites jambes sur les flanc de la jument pour la faire avancer.

Alma ne s'énerva pas, mais s'amusa plutot de l'entêteemnt de la fillette. Elle fit glisser la belle sur la roche, et frotta ses hanches douloureuses contre un arbre.
-Dis donc, toi ! Tu n'y vas pas de jambes mortes ! Mais je te répettes, quelle est ton nom ?
alma était très patiente, mais elle commençait à désanchanter. La petite n'avait finalement rien à voir avec Hélendili !
Alalala ! Si elle continue à s'entêter, je fais quoi moi ?

-Catherine ! Dit la fille furieuse.
-Cheval ici ! Ajouta-t-elle en pointant le rocher. Ce n'était pas compliqué quand même, Catherine voulait faire du cheval. Pourquoi cette méchante jument s'entêtait-t-elle à lui refuser cette faveur. La petite s'assit par terre et se mir à pleurer en frappant des points sur le sol, la vie était trop injuste.

Alma sourit, satisfaite de la réponse de la petite. Mais quand les larmes roulèrent sur ses petites joues, Alma décida que le petit jeu avait assé duré. Elle s'approcha de la roche et attendis que la fillette veule bien metytre ses petites jambes sur ses flancs.
-Dis moi ou tu veux aller !
J'espère qu'elle ne me trainera pas au bout dfu mobnde, au moins !

Alama poussa un gémissement plaintif quand les petits mollets de la petite s'enfoncèrent profondément dasn les flancs de la jument. Elle serra les dents pour ne pas pleurer. elle piétina les sol de ses sabots, et tourna la tête en tout sens pour chasser la douleur.
-Doucemenr Catherine ! Fais un peu attention s'il te plait ! Tu me fais mal !
J'ai bien hâte de bouger d'ici, moi !